Pourquoi n’aurait-on pas le droit de dire que nous nous dirigeons progressivement vers une nouvelle forme de dictature ? Parce que l’Afghanistan désormais ? Joli coup de prestidigitation ! Il y a la dictature religieuse et armée, la dictature militaire et celle qui se prépare sur notre territoire au nom de la « liberté responsable ». Elle est bien plus perverse. Nous sommes très nombreux à la qualifier de « sanitaire ». C’est à nos enfants et nos petits enfants qu’il nous faut penser. Personnellement, je ne veux pas d’une civilisation orwellienne au sein de laquelle les esclaves ignorent définitivement qu’ils le sont. La lobotomie médiatique systématisée sur les chaînes propagandistes de notre État est criarde. J’ai posté récemment une vidéo de Attali qui nous met en garde contre la récupération pernicieuse de certains concepts par le système actuel et une autre où l’on peut entendre un inconnu très éclairé qui décrit à merveille ce qui se passe aujourd’hui dans notre pays. Je vous invite à les visionner. Je n’ai rien à ajouter ou à soustraire à leurs propos. Nos ancêtres se sont plus que violemment libérés du joug religieux en 1789 et 1905 parce que nous sommes une nation avant tout de philosophes et parce que la Raison et le levier de notre culture. De nos jours, la colère monte contre une nouvelle religion érigée de toutes pièces par le Ministère de la Santé joint à celui de l’Intérieur qui nous ordonne de fait d’apprendre par cœur où se trouvent le Bien et le Mal. À ce sujet, je vous suggère de lire le livre de Natacha Polony et Jean-Michel Quatrepoint : Délivrez-nous du Bien ! ». La liberté est une notion philosophique à laquelle nous devons prendre le temps de réfléchir. Le peuple français dans les rues, tous les samedis (pour rien selon beaucoup) sent confusément que quelque chose monte qui ne sera pas à notre avantage, bien au contraire. Je fais confiance à son intuition et me joins à l’effort qu’il fournit contre la confiance aveugle, la passivité qu’elle implique, la fatigue confuse qui la provoque ou le total désintérêt d’une bonne moitié des Français. Depuis un an et demi, des traitements efficaces pour les personnes nouvellement atteintes par cette maladie qui ne tue que 0,05 % des êtres humains ont été mis au rancart et cette décision incompréhensible a causé des milliers de morts sur notre sol ; ne l’oublions pas. Macron cache comme il le peut son incurie en ouvrant tous les parapluies qu’il trouve pour se mettre par anticipation à l’abri de ce dont il devra rendre compte après son mandat. Imaginez que l’État décide de nous tenir au courant jour après jour, heure après heure, des cas de Cancer », d’AVC, d’infarctus, d’accident de la route etc., nous ne sortirions plus de chez nous… Plus jamais.